Nioussérê Kalala OMOTUNDE
Co-fondateur de l'institut d'histoire Anyjart
Diopien, Écrivain, Conférencier, Chercheur en histoire, Égyptologue, Co-fondateur de l’Association Anyjart, Spécialiste des Humanités Classiques Africaines, Spécialiste des Sciences et Mathématiques Africaines.
À l’international, il a contribué à la création de nouvelles associations autour des Humanités Classiques Africaines : Martinique, Guyane, Haïti, Canada et de nombreux autres projets.
Ce fervent défenseur des Humanités Classiques Africaines a contribué à « faire mieux connaître notre culture ancestrale et à apprécier ses liens avec notre modernité ».
C’est aussi un brillant enseignant qui a su traduire dans un langage accessible des textes hautement
scientifiques, souvent issus d’écrits antiques. « Son approche méthodologique est respectueuse des travaux initiés par les professeurs Cheikh Anta Diop et Théophile Obenga, dans une démarche objective et humaniste ».
Il a utilisé « une documentation universelle telle des fouilles archéologiques, des datations, des testaments d’auteurs anciens, etc. ».
La monnaie au temps des pharaons : une antériorité historique
Auteur : Nioussérê K. Omotunde
Titre : La monnaie au temps des Pharaons :
une antériorité africaine
Collection : Séshat
Editions : Anyjart
n° ISBN : en cours
Pagination : 138 pages
Format : 21 x 14,5
Prix : 16 euros
Notes sur l'ouvrage :
Pourquoi un ouvrage consacré à l’histoire de la monnaie ?
Le paradigme actuel de la recherche affirme que l’invention des notions de monnaie et d’étalon monétaire serait l’apanage exclusif des Grecs d’Asie Mineur au VII siècle de l’ère ancienne africaine.
L’Afrique noire elle, durant toute son histoire (périodes pharaonique et impériale) n’aurait jamais dépassé le stade primitif du troc.
Si l’idéologie coloniale n’avait point déjà tracé son sillon dans les consciences, une telle affirmation serait bien évidemment perçue comme exagérée.
Cet ouvrage sur l’histoire réelle de la monnaie souhaite vous démontrer que la réalité est beaucoup plus complexe et qu’il faut toujours se méfier des déclarations gratuites de chercheurs occidentaux ayant perdu toute notion d’objectivité.
Car c’est bien l’Afrique noire qui a inauguré le tout premier lexique économico-financier de l’histoire humaine et les termes modernes actuels ont des racines qui viennent en réalité de très loin.
Nous n’oublierons pas l’Afrique impériale qui fut, elle aussi relativement riche en systèmes financiers. Mais il est maintenant de notre ressors de sortir les deux premières monnaies de l’histoire, à savoir le Shâty et le Dében, des oubliettes de notre mémoire.